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 °°ThE AcE of SpadEs°°

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Auteur Message
Keiji Teshima

Keiji Teshima

Nombre de messages : 19
Date d'inscription : 18/12/2008

Fiche Techinique
Relations.:
Orientation.: Bi.

°°ThE AcE of SpadEs°° Vide
MessageSujet: °°ThE AcE of SpadEs°°   °°ThE AcE of SpadEs°° Icon_minitimeSam 27 Déc - 14:51

♠♠Begining. }♠♠


Nom_ Teshima
Prénom_ Keiji
Âge_126 ans
Sexe_ Regardez moi bien et dites moi si j’ai l’air d’une femme…
Groupe_ Bloody Wings
Race_ Vampire
Orientation Sexuelle_ hétérosexuel… Peut être bi ?
À savoir_
_Il adore les piercing
_Il tiens extrêmement bien l'alcool
_Il a souvent une prestance propre à sa façon d'être lorsqu'il était dans la mafia
_ Il ne parle jamais de ses parents

Vampires Only. }


Créateur_ King
Signe Distinctif_ tatoué à l’intérieur du poigné gauche
Clan_ Bloody Wings

You’re Story. }



Caractéristiques Psychologiques_

D’apparence, Keiji est quelqu’un de froid, sarcastique, forte tête et brutale. Mais au fond, il en est tout autrement. Sensible, il ressent tout les sentiments à son égard clairement ce qui lui évite des érreures naïve, même s’il paraît facilement abusable. Extrémement caractériel et impulsif, il est facile de le blesser, et s’il se sent réellement touché, il n’hésitera pas à sauter sur sa proi pour la bourrer de coups jusqu’à la mort. Il a un bon sens de la répartie mais perd parfois ses moyens lorsqu’une corde trop sensible est touchée. Honnête, on peut avoir confiance en lui, d’autant plus qu’il est loins de manquer d’intelligence. Même s’il paraît franchement hantipatique aux premiers abords, il est en fait très respectueux vis à vis des autres mais ne manque pas de narcissisme et d’orgueil.

Il se perd souvent en conjectures à propos de tout est de rien et lorsque quelque chose l’obsède il est quasimment impossible de lui faire lâcher prise. Doté d’une logique propre, il mise tout sur le hasard, choisit ses proies avec soins et à sa philosophie propre que persone n’a jamais réussit à comprendre. Il peut lui arriver très facilement de tuer quelqu’un comme de lui donner un billet de cent euros.

Il ne mord que les femmes, et même s’il donne l’impression d’être quelqu’un d’assez machos, au fond, il cède à absolument tout leur caprice. La mafia lui ayant inculqué une éduction stricte à ce sujet, il pense que les femmes ne sont pas aptes à regler de grosses question sou à prendre de grande décisions mais qu’il faut les préserver, les proteger, et leur offrir ce qu’elles désirent. Cela dit, il s’en méfie le plus souvent, les sachant doté de beaucoup de ruse et pas franchement plus honnêtes que les hommes, voir beaucoup moins. Il ne cède jamais aux charmes d’une dame.

Histoire_

Il était tard, peut être minuit.

C’était une pièce un peu sombre, un petit salon aux murs recouvertsde tissus. De larges pentacles rouges y sont dessinés, une table basse se tient devant un canapé de cuir noir. De forme ronde, elle est recouverte par un velour ôcre.

Un petit garçon se tenait sur le coins de ce canapé de cuir noir, plus immobile qu’une pierre.

Une simple lampe de chevet trône sur une commode, elle difuse faiblement sa lumière dans la pièce, mouvoie ses ombres sur le visage de l’enfant statique.

Keiji attendait. Sa mère lui avait promit que si il restait sage, à son retour, elle jouerait avec lui. Alors il restait sage. Si sage qu’il ne bougeait pas. Il luttait contre le sommeil. Si son nez le démengeait, il se concentrait pour oublier la sensation désagréable. Tellement sage que son esprit était devenue vide au fil des heures, et qu’il se perdait loins, dans une dimenssion innaccessible à la majoritée des hommes. Le vide de l’esprit. Et sa mère ne revenait pas.

Keiji Deumeurait dans une maison de quartier depuis son enfance. Il n’en avait jamais connue d’autre et ne l’aimait pas. Elle se situait au coirsement d’une petite rue où personne ne passait jamais, au fond d’une impasse donnant sur un parque entretenue par un jardinier consciencieux. Il arrivait souvent au garçon de s’asseoir devant la fenêtre qui donnait sur ce parque et d’y rester des heures durant, sans bouger. Il était très seul.

Son père était partie à sa naissance. Il était né d’un accident et ne conaissait même pas le nom de son géniteur. Il voyait peu sa mère qui travaillait souvent, bien qu’il soit incapable de dire où et comment. Il passait ses journées à l’attendre, mais ne la voyait qu’une heure le matin avant qu’elle parte travailler, s’il se levait aux aurores. Keiji était quelqu’un de très sensible, et il souffrait cruellement de ce manque constant d’attention. Il était très vite devenue indépendant, mais ne cotoyait personne. En âme faible, il se faisait souvent maltraîter par ses camarades et passait pour souffre douleur. Il rasa les murs toute son enfance. Il nétait pas naïf, mais ne savait ni protester ni se défendre. Les autres en profitaient bien.

Tout cela changea brutalement lors d’une semaine spéciale qu’il passa avec sa mère, à l’âge de douze ans.

Sa mère qu’il ne voyait jamais et qu’il passait son temps à attendre lui avait brusquement annoncé qu’elle avait décidé, sois disant pour se rapprocher de lui, de passer une semaine en tête à tête à l’étranger. Keiji avait été fort surprit de ce brusque retournement de situation, mais n’avait pas décelé le danger et l’avait suivit, sourire aux lèvres.

Il s’était arrêtés par étape sur une aire d’autoroute. Sa mère avait perdu son air joyeux et regardait de tout côtés à chaques instants, comme si elle craignait de voir débarquer il ne savait trop qui. Cette scène était restée à jamais gravée dans sa mémoire, comme tout les évenements qu’elle allait déclancher.

Trois hommes sont arrivés brutalement. Ils ont désigné par mère du doigt. Ils étaient habillés de costumes noirs, l’air féroce, et tenaient à la main des armes à feu. Ma mère à lâché ma main et m’a recommandé de rester sage et de l’attendre, qu’elle n’en aurait pas pour longtemps. Je l’ai regardé fuir et les hommes se lancer à sa poursuite. J’ai comprit que je ne la reverrait jamais lorsqu’elle est monté dans l’auto pour démarrer à fond de train et quitter le parking publique, puirsuivit par les trois types. Pourtant j’ai attendue. Personne d’autre que moi n’avait semblé voir cette scène étrange, la voiture noir des hommes avait deserté en même temps que ma mère, et je restait seul, debout, le regard perdu dans le vide, les jambes ankylosées, n’osant pas bouger.

- Qu’est ce que tu fais là, petit ?

Je lui avait répondu que j’attendais ma mère qui était partie avec la voiture, poursuivit par des hommes et qu’elle reviendrait bientôt. Il avait secoué la tête et m’avait demandé de venir avec lui.
Il tenait l’aire d’autoroute, c’était un gars aux revenus modestes, prospère et honnête, chaleureux qui me receuillit pendant plusieurs jours jusqu’à ce que des inconnues viennent me chercher. Ils ressemblaient à ceux qui avaient poursuivit ma mère, je l’ai ai donc suivit en éspérant qu’ils pourraient me renseigner, mais ils ne répondirent à mes questions que par des injonctions qui me blessèrent profondément, des regards désolé « pauvre gosse ». Je ne comprenait pas.

On m’apprit qu’elle avait fuit plus tard et ne reviendrait certainement jamais.Je comprit rapidement que j’étais censsé servir d’otage. Ma sequestration dura plusieurs semaines, elle ne venait pas me chercher. Je ne croyais pas à sa mort, et j’avais raison. Il reçurent une missive un peu plus tard d’un pays qu’elle avait quitté disant qu’elle avait put contacter je ne savais trop qui. Elle ne viendrait pas. Il me relâchèrent et, comme ils refusaient de me tuer à cause de mon âge, m’intègrèrent dans un petit groupe de gosse un peu plus vieux que moi.

La mafia était une organisation particulière. Violente.

J’apprit à devenir fort. A tirer avec de armes à feu, à me défendre. Le tout premier exercice m’apprit à ne pas craindre la mort. On enfilait des gilets par balle, des gens nous tiraient dessus, en pleine poitrine. On se retrouvaient cloués au sol, le souffle coupés, puis on se relevait avec l’énergie du desespoir pour se faire ceuillir par une seconde balle.

Je parvint ainsi à me construire une muraille et à cacher ma sensibillitée et ma fragilitée. Je n’était plus le petit Keiji soumit d’autrefois, mais bien un homme complet que la peur avait désertée.

La mort m’attendait non loins. Elle se matérialisa un soir sous forme de balle. Un coup sec tiré. Dans ce genre d’organisation, personne n’est en sécuritée. La balle m’avait ceuillit en pleine poitrine, m’explosant le poumons gauche. C’était dans une rue deserte. Les minutes, longues, avaient passés. Une ombre était apparut au dessus de moi tandis que la mort m’acceuillait lentement.

- As tu peur de mourir, teshima ?

Non. Alors il avait enfoncé ses crocs dans ma chaire, aspiré mon sang et m’avait proposé le sien en échange.

Du travail mal fait, j’étais officielement mort, officieusement vivant, en pleine posséssion de mes moyens, plus vampire que jamais, avec un nouveau père aimant.

Puis l’arrivée de chiyu, la trahison de Juka et de nouveau un frèle bonnheur éffondré. La vie est cruelle, elle fait croire à un peu de paix pour la retirer aussi tôt, comme devant le nez d’un âne qui attendrait sa carotte.

Je ne suis ni plus intelligent, ni moins gourmand.
Links_

Tanaka Aoi_ Etant un adepte des relations compliquées, celle la bat certainement un record dans ses analles. Il l’aime, comme un père, puis comme un amant, pour le dester ensuite, et finir par le Haïr. Ces changements pouvant s’operer parfois en moins de trente secondes. Il cherche à attirer son attention sans toutefois devenir lèche botte, et au fond réclame attention et affection sans oser le montrer. Il désire ardemment voir disparaître cette jalousie intense qu’il ressent à l’égard de ceux qu’apprécie Tanaka, et voudrait de toute son âme retrouver son indépendance sentimentale, sans y parvenir.

Amane Chiyu_ Il n’existe pas de mots assez fort pour dire combien il le hait. Même imaginer les pires tortures du monde pour lui ne suffit pas à l’apaiser. I Chiyu mourrait, il ne se sentirait pas soulager. Il en est jaloux, totalement jaloux, ne supporte pas de levoir, et perd tout ses moyens lorsqu’il s’adresse à lui.

Kaori Shizuka_ Il l’apprécie assez pour la cotoyer, mais la considère bien comme sa sœur, avec un mélange de respect. Si l’alliance qu’ils ont face à Chiyu les rapproches, il ne fait toutefois pas d’elle sa confidente.

Ikari Juka_ Il regrette son départ, après tout ils étaient les deux frères de la famille…Il ne l’a pas recroisé depuis longtemps et n’imagien pas ce qui pourrait se passer à ce moment.




♠♠The End. }♠♠


Pseudo_Rumika/ Miyabi/Teruki/Ruki/Noble élégance/….narcissique ?
Comment avez-vous connu le forum_ par… bon c’est quoi son pseudo maintenant ? Shizuka. voiiiilà
Comment trouvez-vous le forum_ HAHA il se prend un coup de jeune et le design est perfect !
Personnalité sur votre avatar_ Mao_Sadie ( prosternez vous )

Code _ It's end tonight
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Keiji Teshima

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MessageSujet: Re: °°ThE AcE of SpadEs°°   °°ThE AcE of SpadEs°° Icon_minitimeSam 24 Jan - 17:05

fiche terminée, il ne manque plus que l'avatar ^^
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